Qui suis-je ?

Dès l’adolescence, il était clair pour moi que je m’orienterai vers un métier du champ de la psychologie ou du travail social. Au fil du temps, j’ai trouvé une manière de faire les deux ensemble.

J’ai commencé en 1977, en entreprenant une formation en éducation de la petite enfance, à l’École d’Études Sociales et Pédagogiques de Lausanne. Ce qui était à l’époque « L’école Pahud » venait de renommer l’ancienne filière des « jardinières d’enfants » et acceptait les hommes. Je fus le premier en Suisse romande.  Quelques années plus tard, c’est à la Haute École d’Études Sociales de Genève que je poursuis ma formation de travailleur social.

À partir de 1980, je m’intéresse, et pratique, différentes techniques issues de la psychologie humaniste (gestalt, approche rogérienne et jungienne, rebirthing).

En 1992,  j’entreprends un stage de six mois dans l’unité de soins palliatifs du CESCO (HUG) à Collonges-Bellerive. J’aime profondément ce travail avec des personnes en fin de vie et leurs proches. Suite à cela, je m’inscris à différentes formations complémentaires dans ce domaine.

En 1996, je fais l’expérience d’avoir un enfant mort à la naissance. Cet événement déclenche une intense période de travail personnel et de couple. Riche d’avoir été accompagné durant cette période chahutée, je garde un intérêt tant personnel que professionnel pour ce domaine spécifique.

En 1999, avec deux collègues et amies neuchâteloises, nous décidons de créer une association d’aide aux personnes en deuil ; je m’y engage pendant cinq ans, à la fois comme président du comité et comme professionnel, dans le cadre des entretiens individuels et de l’animation des groupes de parole pour adultes et pour enfants (mis en place en partenariat avec As’trame).

C’est aussi à cette période que j’entreprends un nouveau parcours de formation. Durant cinq ans, je m’initie à la thérapie de famille et à l’approche systémique avec les Dr G. Salem, A. Ciola, N. Frenck et J-A Malarewicz. Les années de ce cursus ont sur moi l’effet d’un coup d’accélérateur. Elles m’ouvrent de nouvelles perspectives; j’expérimente le fait d’être plus créatif au travail et le plaisir que cela m’apporte.

Entre 1996 et 2020, je poursuis mes activités en tant que collaborateur psychosocial, d’abord dans un service cantonal de protection des mineurs puis, durant 10 ans, au CHUV, dans le département de pédiatrie et à la maternité (périnatalité) dans le cadre du CAN Team.

En 2020, je décide de m’installer à mon compte; je pratique au sein de mon propre cabinet et centre mes activités sur l’accompagnement du deuil.

Formations

Formations

Formations continues