CADIL
Cabinet dédié à l’accompagnement du deuil
Le CADIL s’adresse à des adultes ou à des enfants qui font face à un deuil en lien avec la perte d’un être cher (pour les enfants, ce peut être un animal).
Par nature, l’être humain tisse des liens avec ses semblables ; il s’attache et c’est ainsi qu’il trouve la sécurité qui lui permet de grandir et d’évoluer. La mort nous oblige à nous détacher, à vivre une perte. Elle vient mettre du chaos là où nous avions installé un équilibre de vie.
La traversée du deuil est faite d’émotions, de questionnements, d’une perception de soi particulière et de moments de baisse de moral. Dans cette période, la parole et l’expression des sentiments favorisent le processus du deuil. Le fait de partager son vécu avec un autre être humain devient un acte thérapeutique porteur de sens et de mieux-être.
Le CADIL offre un lieu spécifique pour vous accompagner avec bienveillance et professionnalisme dans ce temps si particulier du deuil.
Le CADIL s’adresse à des adultes ou à des enfants qui font face à un deuil en lien avec la perte d’un être cher (pour les enfants, ce peut être un animal).
Par nature, l’être humain tisse des liens avec ses semblables ; il s’attache et c’est ainsi qu’il trouve la sécurité qui lui permet de grandir et d’évoluer. La mort nous oblige à nous détacher, à vivre une perte. Elle vient mettre du chaos là où nous avions installé un équilibre de vie.
La traversée du deuil est faite d’émotions, de questionnements, d’une perception de soi particulière et de moments de baisse de moral. Dans cette période, la parole et l’expression des sentiments favorisent le processus du deuil. Le fait de partager son vécu avec un autre être humain devient un acte thérapeutique porteur de sens et de mieux-être.
Le CADIL offre un lieu spécifique pour vous accompagner avec bienveillance et professionnalisme dans ce temps si particulier du deuil.
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort,
c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. »
« Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants. »
L’esprit de l’accompagnement
Le deuil est un événement de vie naturel, mais si l’on ne veut pas qu’il laisse des traces négatives, il est nécessaire de prendre du temps pour le vivre et l’intégrer. Chacun le fait à sa manière et à sa vitesse.
La mort nous bouscule et nous désorganise. Elle nous fait vivre des émotions inhabituelles, parfois violentes. Il n’est pas toujours facile d’affronter seul.e le remue-ménage intérieur provoqué par la nécessité de se séparer. L’accompagnement aide à traverser cette période de turbulences, qui précède le retour à un équilibre de vie. Car le deuil n’est pas un état permanent : après avoir pris le temps de vivre les émotions liées à la perte et à l’absence, il est naturel et sain de se remettre en marche, de retrouver de l’énergie, de faire des projets… de vivre.
Les rites : la manière dont les rites se sont effectués, ou n’ont pas pu s’effectuer, aura également un impact sur la personne en deuil. Si nécessaire, du temps sera pris durant les entretiens pour préparer un rituel à mettre en place ou des actions particulières à effectuer pour favoriser le processus du deuil.
L’accompagnement permet également de discuter d’expériences comme par exemple les vécus subjectifs de contacts avec un défunt (VSCD). Tout comme les expériences de mort imminente (EMI/NDE), nous savons maintenant que ces vécus sont relativement fréquents dans la population, mais ce type d’expérience reste délicat à partager. Pourtant, elles sont porteuses d’un sens profond et contiennent un fort pouvoir d’apaisement et de mieux-être.
Chacun son rythme
Élaborer un deuil prend du temps. Ce temps est différent d’une personne à l’autre. Il n’y a pas de règle en la matière et chacun avance à son rythme.
Le souhait d’être soutenu, écouté, accompagné, varie en fonction de la personnalité de chacun. L’histoire de vie et les circonstances du décès jouent également un rôle.
Certaines personnes éprouvent le besoin d’être soutenues rapidement après le décès. Elles apprécient de venir régulièrement et durant une période « ouverte », non définie à l’avance.
D’autres laissent passer plusieurs mois et demandent ensuite à bénéficier d’un lieu d’écoute de manière ponctuelle. Elles préfèrent prendre rendez-vous lorsqu’elles en ressentent le besoin.
Pour d’autres encore, il est important que l’accompagnement se fasse dans un cadre précis. Elles aiment pouvoir définir à l’avance le nombre de séances et la fréquence des entretiens.
Sachant cela, n’hésitez pas à me dire, lors de notre premier contact téléphonique, ce qui serait pour vous la meilleure manière de procéder. Cela nous permettra de mettre en place la formule la plus adaptée à votre situation.
Enfants et famille
Quels mots choisir pour expliquer la mort à un enfant ? Comment lui parler sans lui faire peur ? Comment le rassurer tout en le laissant exprimer ses émotions ? Et puis, faut-il l’associer aux cérémonies funéraires ou au contraire l’en préserver ? Ces questions peuvent mettre plus d’un adulte dans l’embarras.
La mort ne laisse personne indifférent ; elle a un forcément un impact sur le vécu des enfants. Certains ne laissent rien paraître. D’autres, au contraire, arrivent difficilement à contrôler le flot d’émotions, le chagrin, les larmes. Certains développent des peurs, se montrent angoissés pour de petites choses alors qu’ils ne l’étaient pas du tout auparavant. En eux-mêmes, la perte le chagrin, la culpabilité ne sont pas des sentiments négatifs ; ils se surmontent relativement facilement dès lors que l’enfant est aidé pour mettre en mots – ou en image – ce qu’il ressent.
Le fait d’être accompagné et soutenu pour traverser un deuil sera pour l’enfant un modèle d’expérience positive qui lui servira de référence et sur lequel il pourra s’appuyer lors d’autres moments difficiles de sa vie.
Le suivi d’un enfant débute par un entretien avec son/ses parents. Il s’agit principalement de faire le point de la situation entre adultes, de réfléchir aux éventuelles précautions à prendre en fonction du type de deuil auquel l’enfant fait face et de décider ensemble de la meilleure manière de procéder. Lorsqu’il y a plusieurs enfants dans la famille, nous évaluons s’il est opportun de voir les frères et sœurs ensemble. Cela se décide au cas par cas.
La plupart des entretiens avec les enfants s’effectuent en présence du/des parent/s. Cette pratique se module en fonction de l’âge et de la maturité de l’enfant.
En plus de la parole, la narration, le dessin ou un rituel personnalisé pourront être utilisés pour aider l’enfant à mettre de l’ordre dans ses émotions et accepter la difficile réalité. Généralement, quatre à six séances suffisent pour parvenir à ce but.
Dans certaines circonstances, lorsque l’enfant est particulièrement attaché à une personne de son entourage et que l’on sait que cette personne va bientôt mourir, il peut être bénéfique de préparer l’enfant à cette échéance. Sur demande, un accompagnement spécifique peut être organisé.
Les hommes et le deuil périnatal
Il y avait des projets, des attentes et des souhaits. À partager avec un bébé joufflu. Mais le berceau est vide et la mère effondrée. Quel père est préparé à vivre cette fatalité ?
Accompagner la mère de son enfant dans le long chemin du deuil et des expériences médicales douloureuses ou traumatisantes : ce n’est pas non plus à cela que le futur père s’attendait. Pourtant, la réalité le met devant cette tâche, inattendue, à laquelle il ne peut se soustraire : vivre le deuil de son enfant tout en soutenant sa compagne. Et en continuant d’assurer la marche de la famille si d’autres enfants sont présents.
L’expérience montre que dans ces moments-là, le vécu et le ressenti de l’homme passent souvent au second plan. Contrairement à la mère, on se préoccupe moins de savoir comment il se sent, ce qui est difficile pour lui ou ce dont il aurait besoin pour traverser sans trop de dégâts cette zone de turbulences.
Au fond de lui, chaque père sait bien qu’il n’est pas un surhomme invulnérable qui n’a besoin de personne… Pourtant, la réalité statistique montre que seul 10% des hommes en situation de deuil périnatal demandent du soutien à une personne extérieure à la famille.
Un espace de parole et de dialogue permet aux hommes de se recentrer sur leur vécu spécifique, d’évoquer leurs préoccupations et de partager leurs ressentis. Les entretiens sont une aide pour continuer d’être un mari ou un compagnon soutenant, un père attentif, un professionnel en mesure d’assumer son rôle et ses responsabilités : en bref, pour faire face sans s’épuiser.
Pour beaucoup d’hommes, trois à six séances, espacées dans le temps, constituent un soutien suffisant.
« Nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive mais nous avons la tâche de l’intégrer à la trame de notre vie et d’en faire du sens. »
Guy Corneau
Les hommes et le deuil périnatal
Il y avait des projets, des attentes et des souhaits. À partager avec un bébé joufflu. Mais le berceau est vide et la mère effondrée. Quel père est préparé à vivre cette fatalité ?
Accompagner la mère de son enfant dans le long chemin du deuil et des expériences médicales douloureuses ou traumatisantes : ce n’est pas non plus à cela que le futur père s’attendait. Pourtant, la réalité le met devant cette tâche, inattendue, à laquelle il ne peut pas se soustraire : vivre le deuil de son enfant tout en soutenant sa compagne. Et en continuant d’assurer la marche de la famille si d’autres enfants sont présents.
L’expérience montre que dans ces moments-là, le vécu et le ressenti de l’homme passent souvent au second plan. Contrairement à la mère, on se préoccupe moins de savoir comment il se sent, ce qui est difficile pour lui ou ce dont il aurait besoin pour traverser sans trop de dégâts cette zone de turbulences.
Au fond de lui, chaque père sait bien qu’il n’est pas un surhomme invulnérable qui n’a besoin de personne… Pourtant, la réalité statistique montre que seul 10% des hommes en situation de deuil périnatal demandent du soutien à une personne extérieure à la famille.
Un espace de parole et de dialogue permet aux hommes de se recentrer sur leur vécu spécifique, d’évoquer leurs préoccupations et de partager leurs ressentis. Les entretiens sont une aide pour continuer d’être un mari ou un compagnon soutenant, un père attentif, un professionnel en mesure d’assumer son rôle et ses responsabilités : en bref, pour faire face sans s’épuiser.
Pour beaucoup d’hommes, trois à six séances, espacées dans le temps, constituent un soutien suffisant.
« Nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive mais nous avons la tâche de l’intégrer à la trame de notre vie et d’en faire du sens. »
Guy Corneau
L’esprit de l’accompagnement
Le deuil est un événement de vie naturel, mais si l’on ne veut pas qu’il laisse des traces négatives, il est nécessaire de prendre du temps pour le vivre et l’intégrer. Chacun le fait à sa manière et à sa vitesse.
La mort nous bouscule et nous désorganise. Elle nous fait vivre des émotions inhabituelles, parfois violentes. Il n’est pas toujours facile d’affronter seul.e le remue-ménage intérieur provoqué par la nécessité de se séparer. L’accompagnement aide à traverser cette période de turbulences, qui précède le retour à un équilibre de vie. Car le deuil n’est pas un état permanent : après avoir pris le temps de vivre les émotions liées à la perte et à l’absence, il est naturel et sain de se remettre en marche, de retrouver de l’énergie, de faire des projets… de vivre.
Les rites : la manière dont les rites se sont effectués, ou n’ont pas pu s’effectuer, aura également un impact sur la personne en deuil. Si nécessaire, du temps sera pris durant les entretiens pour préparer un rituel à mettre en place ou des actions particulières à effectuer pour favoriser le processus du deuil.
L’accompagnement est aussi le lieu où peuvent se discuter les vécus subjectifs de contacts avec le défunt (VSCD). Tout comme les expériences de mort imminente (EMI/NDE), nous savons maintenant qu’elles sont relativement fréquentes dans la population, mais ce type de vécu reste délicat à partager. Pourtant, ces expériences sont porteuses d’un sens profond et contiennent un fort pouvoir d’apaisement et de mieux-être.
Chacun son rythme
Élaborer un deuil prend du temps. Ce temps est différent d’une personne à l’autre. Il n’y a pas de règle en la matière et chacun avance à son rythme.
Le souhait d’être soutenu, écouté, accompagné, varie en fonction de la personnalité de chacun. L’histoire de vie et les circonstances du décès jouent également un rôle.
Certaines personnes éprouvent le besoin d’être soutenues rapidement après le décès. Elles apprécient de venir régulièrement et durant une période « ouverte », non définie à l’avance.
D’autres laissent passer plusieurs mois et demandent ensuite à bénéficier d’un lieu d’écoute de manière ponctuelle. Elles préfèrent prendre rendez-vous lorsqu’elles en ressentent le besoin.
Pour d’autres encore, il est important que l’accompagnement se fasse dans un cadre précis. Elles aiment pouvoir définir à l’avance le nombre de séances et la fréquence des entretiens.
Sachant cela, n’hésitez pas à me dire, lors de notre premier contact téléphonique, ce qui serait pour vous la meilleure manière de procéder. Cela nous permettra de mettre en place la formule la plus adaptée à votre situation.
Enfants et famille
Quels mots choisir pour expliquer la mort à un enfant ? Comment lui parler sans lui faire peur ? Comment le rassurer tout en le laissant exprimer ses émotions ? Et puis, faut-il l’associer aux cérémonies funéraires ou au contraire l’en préserver ? Ces questions peuvent mettre plus d’un adulte dans l’embarras.
La mort ne laisse personne indifférent ; elle a un forcément un impact sur le vécu des enfants. Certains ne laissent rien paraître. D’autres, au contraire, arrivent difficilement à contrôler le flot d’émotions, le chagrin, les larmes. Certains développent des peurs, se montrent angoissés pour de petites choses alors qu’ils ne l’étaient pas du tout auparavant. En eux-mêmes, la perte le chagrin, la culpabilité ne sont pas des sentiments négatifs ; ils se surmontent relativement facilement dès lors que l’enfant est aidé pour mettre en mots – ou en image – ce qu’il ressent.
Le fait d’être accompagné et soutenu pour traverser un deuil sera pour l’enfant un modèle d’expérience positive qui lui servira de référence et sur lequel il pourra s’appuyer lors d’autres moments difficiles de sa vie.
Le suivi d’un enfant débute par un entretien avec son/ses parents. Il s’agit principalement de faire le point de la situation entre adultes, de réfléchir aux éventuelles précautions à prendre en fonction du type de deuil auquel l’enfant fait face et de décider ensemble de la meilleure manière de procéder. Lorsqu’il y a plusieurs enfants dans la famille, nous évaluons s’il est opportun de voir les frères et sœurs ensemble. Cela se décide au cas par cas.
La plupart des entretiens avec les enfants s’effectuent en présence du/des parent/s. Cette pratique se module en fonction de l’âge et de la maturité de l’enfant.
En plus de la parole, la narration, le dessin ou un rituel personnalisé pourront être utilisés pour aider l’enfant à mettre de l’ordre dans ses émotions et accepter la difficile réalité. Généralement, quatre à six séances suffisent pour parvenir à ce but.
Dans certaines circonstances, lorsque l’enfant est particulièrement attaché à une personne de son entourage et que l’on sait que cette personne va bientôt mourir, il peut être bénéfique de préparer l’enfant à cette échéance. Sur demande, un accompagnement spécifique peut être organisé.
Les hommes et le deuil périnatal
Il y avait des projets, des attentes et des souhaits. À partager avec un bébé joufflu. Mais le berceau est vide et la mère effondrée. Quel père est préparé à vivre cette fatalité ?
Accompagner la mère de son enfant dans le long chemin du deuil et des expériences médicales douloureuses ou traumatisantes : ce n’est pas non plus à cela que le futur père s’attendait. Pourtant, la réalité le met devant cette tâche, inattendue, à laquelle il ne peut pas se soustraire : vivre le deuil de son enfant tout en soutenant sa compagne. Et en continuant d’assurer la marche de la famille si d’autres enfants sont présents.
L’expérience montre que dans ces moments-là, le vécu et le ressenti de l’homme passent souvent au second plan. Contrairement à la mère, on se préoccupe moins de savoir comment il se sent, ce qui est difficile pour lui ou ce dont il aurait besoin pour traverser sans trop de dégâts cette zone de turbulences.
Au fond de lui, chaque père sait bien qu’il n’est pas un surhomme invulnérable qui n’a besoin de personne… Pourtant, la réalité statistique montre que seul 10% des hommes en situation de deuil périnatal demandent du soutien à une personne extérieure à la famille.
Un espace de parole et de dialogue permet aux hommes de se recentrer sur leur vécu spécifique, d’évoquer leurs préoccupations et de partager leurs ressentis. Les entretiens sont une aide pour continuer d’être un mari ou un compagnon soutenant, un père attentif, un professionnel en mesure d’assumer son rôle et ses responsabilités : en bref, pour faire face sans s’épuiser.
Pour beaucoup d’hommes, trois à six séances, espacées dans le temps, constituent un soutien suffisant.
« Nous ne sommes pas responsables de tout ce qui nous arrive mais nous avons la tâche de l’intégrer à la trame de notre vie et d’en faire du sens. »
Guy Corneau
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